Art Océanien - Art Tribal - Art Premier - Galerie Franck Marcelin

Art Océanien - Art Tribal - Art Premier - Galerie Franck Marcelin

Art Océanien - Art Tribal - Art Premier - Galerie Franck Marcelin

lien vers le catalogue
: https://issuu.com/galerie_franck_marcelin/docs/pilons_fin_net

  


Description en français

  


- VOEUX -



 


- Exposition BUFFILE -

  


- PARCOURS DES MONDES 2021 -

  


- PARCOURS DES MONDES 2019 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

La Galerie Franck Marcelin vous accueille tous les jours de 11h à 19h à l'occasion du Parcours des Mondes !
35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)




- PARCOURS DES MONDES 2020 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

Le parcours des mondes est le plus important salon d’arts premiers international
par le nombre, la qualité et la diversité de ses participants.

Il se déroulera du mardi 8 au dimanche 13 septembre 2020.

A cette occasion, la Galerie Franck Marcelin vous invite à venir découvrir ses dernières acquisitions à la Galerie Alexandre Guillemain.


Vernissage le mardi 13 septembre à partir de 11h
35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)

  


- LES ETOILES SONT DES YEUX -
Marc ASSAYAG

Venez découvrir "Les étoiles sont des yeux", un livre de mon confrère Marc ASSAYAG,
actuellement disponible à la galerie.

La production artistique du peuple Abelam est connue depuis le milieu du 20e siècle.
De nombreux travaux d’anthropologues, de collectionneurs et de conservateurs ont fait sa renommée à travers le monde.
Ce peuple est connu pour avoir développé un véritable « langage visuel » qui se passe de mots.
Cependant, ce langage non verbal a toujours été perçu au travers des règles visuelles occidentales et muséales classiques, conduisant à ce que l’on pourrait appeler « une erreur de traduction ».
Ces objets ont, en effet, été conçus par des artistes qui n’ont pas le même rapport que nous à l’objet, à l’image et à sa signification.
La perception n’est pas innée, elle est une pratique socialement et culturellement située.
En observant ces masques de manière frontale et unidirectionnelle, l’observateur (occidental) ne perçoit en réalité qu’une seule (et infime) partie des différents visages de ces masques, laissant une multitude d’autres facettes dans l’angle mort.

Basée sur le livre « Les étoiles sont des yeux » le Musée International du Carnaval et du Masque de Binche (Belgique) propose une exposition unique de cinquante masques d’un peuple du Nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Abelam.
Cette exposition développe le point de vue original de ce collectionneur sur les masques abelam.
L'exposition dont l'ouverture était prévue le 25 avril 2020 est reportée à une date ultérieure

Format 31 x 25cm. 224 pages. Couverture rigide. 75€ (+ frais de port) Livre disponible en français ou en anglais

  


- MEILLEURS VOEUX -

  


- PARCOURS DES MONDES 2019 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

La Galerie Franck Marcelin est prête à vous accueillir à l'occasion du Parcours des Mondes !

Nous espérons vous y voir nombreux à partir de demain 15h et jusqu'à dimanche soir 18h.
35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)

Pour obtenir plus d'informations et de photos rendez vous sur la page Facebook de la Galerie Franck Marcelin




- PARCOURS DES MONDES 2019 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

Le parcours des mondes est le plus important salon d’arts premiers international
par le nombre, la qualité et la diversité de ses participants.

Il se déroulera du mardi 10 au dimanche 15 septembre 2019.

A cette occasion, la Galerie Franck Marcelin vous invite à venir découvrir ses dernières acquisitions à la Galerie Alexandre Guillemain.


Vernissage le mardi 10 septembre à partir de 15h
35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)



 


- LA NUIT DES GALERIES -
Le 5 Juillet prochain aura lieu la « Nuit des Galerie ». Une soirée exceptionnelle de déambulation artistique dans les rues d'Aix en Provence, un parcours jalonné par 23 galeries d'art qui auront le plaisir d'accueillir le public jusqu'a la tombée de la nuit. Ces lieux ont tous une identité propre : pour les uns ce sera l’opportunité d'un vernissage et pour d'autre l'invitation à partager la passion de l’art autour d'un verre !

A cette occasion la Galerie Franck MARCELIN aura le plaisir de vous accueillir au vernissage de l'exposition

- ARMAND AVRIL -
« Et l'art de la Papouasie »

à partir de 18h et jusqu'a 22h


Exposition du 5 Juillet au 14 Août

  


- DMITRY LYUBARSKY -
Exposition photographique du 4 au 29 Juin 2019

Papouasie Nouvelle-Guinée. 2018
Une sélection de 25 photographies
Photographe né en 1974 à Kiev en Ukraine, en 1996, il obtient un diplôme d’architecte puis suit des cours à l’Académie de design et d’arts.
Il vit depuis 1997 en Israël

« Mon intérêt pour la photographie était au départ une excuse pour voyager, mais est rapidement devenu une passion obsessionnelle.
Le processus de travail est principalement axé sur la capture des personnes dans leur environnement naturel, en les prenant à travers mon objectif.
J'aime franchir les barrières culturelles et linguistiques.
Cela m'a permis de me plonger complètement auprès de différentes tribus et peuples autochtones pour capturer des histoires humaines sur les rives les plus isolées et les terrains montagneux des terres de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
À travers mon objectif, je donne au spectateur un avant-goût de sa culture, de sa beauté et de ses émotions.
En prenant des photos des rituels et en étudiant les traditions, j'ai essayé de devenir un Papou blanc. »

Tirage :
Laboratoire Picto. Paris sur papier Noir et Blanc
Premium Infinity CANSON RC Satiné 310g.
Format : 30 x 40cm
Encadré
Prix : 280 €

  


- LES MASQUES A IGNAMES -
Exposition du 8 Janvier au 8 Février 2019

     Chez les Abelam du sud, dans le district Wosera, province du Sepik de l’Est, parmi les activités horticoles comme le café ou le cacao qui procurent un revenu permettant l’acquisition de biens de consommation courante, il existe deux autres types de culture :

- celle des ignames courtes (Dioscorea esculenta), dénommées ka, pratiquée dans des jardins aussi bien par les femmes que par les hommes. Culture souvent associée à celle des tarots ou à certaines variétés de bananes. Ces ignames, triées par taille, sont l’aliment de base pour la population car riche en amidon. Elles sont aussi destinées à la nourriture des cochons, ou encore utilisées comme présent à l’occasion de réunions publiques.

- celle des ignames longues (Dioscorea alata), dénommées waapi, dont la culture est exclusivement réservée aux hommes et pratiquée dans des jardins sacrés. Ces jardins, dont l’accès est interdit aux femmes et aux étrangers, sont généralement isolés voire même clôturés. Cette activité est de la plus haute importance. En respectant un certain nombre d’interdits, la culture des waapi nécessite des hommes des manipulations d’ordre physique, mais aussi magique leur permettant d’obtenir un tubercule dont la hauteur peut atteindre jusqu’à trois mètres.


     Lors des cérémonies annuelles (au nombre de trois) qui clôturent le cycle des récoltes appelées Waapi Saaki (alignement des grandes ignames), les grands tubercules sont exposés, symbole de la faculté procréatrice de l’homme et de son clan. Ils évoquent aussi d’autres formes symboliques absentes et invisibles comme celles des ancêtres, renvoient également aux pouvoirs invisibles qui animent les espèces vivantes et contribuent à leur croissance et à leur reproduction.

     Chaque jardinier qui à réussi à obtenir un grand tubercule l’orne de plumes de coqs ou de casoar, parfois de plumes de paradisiers et de coquillages. Le sommet de la grande igname, la « tête », est recouverte d’un masque en bois ou en vannerie. Ainsi, l'igname décorée honore l'esprit ancestral et apporte prestige et reconnaissance au cultivateur. En tant que telles, elles sont décorées comme l’étaient autrefois les initiés et présentent des connotations visuelles qui les rapprochent des images d’entités ancestrales peintes sur les façades des maisons cérémonielles ou des figures sculptées et polychromes, qui étaient révélées lors des cycles d’initiations.

     L’ensemble des ignames est ainsi aligné et présenté aux habitants des différents hameaux du village, ainsi qu’aux visiteurs des villages voisins y compris les ennemis coutumiers qui viennent évaluer les tubercules présentés. Les grandes ignames, objets de grande valeur, entrent ensuite dans des circuits d’échanges complexes et sont troquées lors d’échanges compétitifs entre des partenaires cérémoniels, ou sont utilisées comme compensation lors des mariages ou décès, ou pour résoudre des conflits.
     La seconde cérémonie utilise aussi des grandes ignames considérées comme de qualité secondaire mais qui ne sont pas décorées.

     Enfin, Les ignames courtes donnent lieu à la troisième cérémonie, deux à trois mois après celle de « l’alignement des grandes ignames ». A cette occasion, les plus grands tubercules, mesurant un mètre environ, sont à leur tour ornés et portent un masque en vannerie.

     Ces trois cérémonies marquent le début de la nouvelle année, la fin des interdits (jusqu'à la plantation suivante des grandes ignames), et sont dites favoriser les récoltes de l'année qui s'annoncent. Elles sont également l'occasion de renouveler les alliances, d'en passer de nouvelles et de négocier les soutiens magiques et politiques pour l'année qui suit.

     Si les sculptures figuratives conservées dans les maisons cérémonielles sont la propriété du clan, le masque à igname est souvent la propriété des individus. Transmises de génération en génération, ces mêmes sculptures d’esprit ancestral se rapprochent d’une stylistique traditionnelle. Ce qui n’est pas le cas de la facture du masque à igname, qui lui, semble beaucoup plus libre. La longue igname qu’il orne est le produit des efforts personnels d’un homme, de sa maîtrise de la magie du jardin et de sa relation avec les esprits ancestraux.

     Le masque en vannerie du sud de l’aire Abelam, dénommé Bapa Mene, est fabriqué à partir de la fougère lygodium, appelée negwa dans la langue Abelam.

     Il existe de nombreuses variétés de forme de masques. Les artistes semblent s’être inspirés du modèle, en miniature, du masque Bapa Kumbu, masque porté par les jeunes hommes avant la cérémonie d’initiation.

     Si certains masques représentent des visages humains stylisés, les masques d’inspiration aviaire sont également récurrents, les oiseaux étant associés à des clans, des esprits ou d’autres formes de pouvoirs spirituels. De nombreuses représentations nous font penser à des têtes de poules, mais aussi de perroquets. Le plus souvent les masques sont surmontés d’une sorte de diadème.

     Les masques en bois léger de la région Wosera , dénommés Dumakna, sont sculptés à partir du bois de Balsa (Ochroma pyramidale). Les visages sont plus liés stylistiquement à l’esprit ancestral ngwallndu. Visages que l’on retrouve sur les grandes sculptures en bois ou sur les rangées de têtes ornant les linteaux en façade des maisons cérémonielles.

     La grande diversité des masques à Igname de cette région, repérables par la finesse de travail de la vannerie associée à l’ajout de pigments de couleurs, a depuis plusieurs années conquis le marché de l’art et fait partie des objets emblématiques des productions Abelam dans les collections publiques comme privées.

  


- MEILLEURS VOEUX -

  


- PARCOURS DES MONDES 2018 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

La Galerie Franck Marcelin est prête à vous accueillir à l'occasion du Parcours des Mondes !

Nous espérons vous y voir nombreux à partir de demain 15h et jusqu'à dimanche soir 18h.
35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)

Pour obtenir plus d'informations et de photos rendez vous sur la page Facebook de la Galerie Franck Marcelin




- PARCOURS DES MONDES 2018 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

Daniel VIGNE poursuit actuellement la promotion de son premier opus intitulé
"La Maison Des Hommes" (Editions du Pacifique).
Récit d'aventure, de réflexion, entre carnet de route et cheminement intérieur,
cet ouvrage nous plonge dans un autre espace temps :
le monde papou des tribus des hauts plateaux et de la Vallée du Sépik.
Préface de Christian Coiffier, chargé de mission au musée du quai Branly.

Franck MARCELIN recevra l'auteur pour une séance de dédicaces
dans le cadre du PARCOURS DES MONDES
le jeudi 13 septembre à partir de 18h00

A la Galerie Alexandre Guillemain - 35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)




- PARCOURS DES MONDES 2018 -
A la Galerie Alexandre Guillemain

Le parcours des mondes est le plus important salon d’arts premiers international
par le nombre, la qualité et la diversité de ses participants.

Il se déroulera du mardi 11 au dimanche 18 septembre 2018.

A cette occasion, la Galerie Franck Marcelin vous invite à venir découvrir ses dernières acquisitions à la Galerie Alexandre Guillemain.


Vernissage le mardi 11 septembre à partir de 15h
35 rue Guénégaud - 75006 Paris - (Angle rue Guénégaud et rue Mazarine)


Un catalogue présentant une sélection de trente objets exposés lors du Parcours des Mondes 2018
sera disponible à l'achat à la Galerie Alexandre Guillemain ou sur le site de la Galerie Franck Marcelin dans la rubrique Objets puis Catalogues.




- SOPHIE DE GARAM -
Exposition du 13 Juillet au 11 Août 2018

“ Battements d’ailes de papillon ”

Monotypes sur papier japonais
Ces lignes sont la manifestation poétique et physique de flux caractérisé par une origine,
une destination et un trajet, les battements d’ailes de papillon dans l’espace.

Sophie de Garam, peintre-graveur, vit et travaille au Sri Lanka.
Elle y anime un atelier qui marie "Yoga et Art" dans une nature omniprésente.



 


- NUIT DES GALERIES -
6 Juillet 2018



 


- ANNE TUY -
Des feuilles de lotus fanées recouvraient la surface de l'eau...

Le WASHI est le papier fabriqué artisanalement au Japon depuis le VIIème siècle.
Il en existe plus de 400 sortes provenant de villages de montagne du nord au sud.
Beaucoup d’artisans ont déjà disparu et le WASHI a été inclus en 2014 dans la liste du patrimoine de l’UNESCO
Il est connu pour sa légèreté, sa flexibilité et sa solidité.
Sa fabrication nécessite une douzaine d’opérations manuelles et la présence d’une eau de rivière pure.
Pour en apprécier toutes les qualités, le grain, la teinte, l’épaisseur, il convient de le laisser vivre et de le présenter sans encadrement ni verre.

Les papiers utilisés :
Le WASHI de support vient du village de Kurotani , province de Kyoto.
Le WASHI utilisé pour peindre vient du village de Mino, province de Gifu.
D’autres sortes de WASHI viennent de l’Atelier Papetier à Arles.
Les pigments minéraux viennent de chez Saiun-Do à Kyoto.



 


- PARCOURS DES MONDES 2017 -
A la Galerie Frédéric Guislain



 


- LA NUIT DES GALERIES -
Eté 2017



 


- LES 70 ANS DE L'ATELIER BUFFILE -
En partenariat avec le Musée du Vieil Aix et le Musée du Pavillon Vendôme
Eté 2017




- EXPOSITION LOLA MOSER -
Les commerçants Aixois